TCHEKA
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TCHEKA
Exclu lulu...je l'ai découvert hier soir...
J'en parle ici car je trouve que c'est proche du blues...
A vous d'en juger...
mms://streaming.plugin.com.br/musicadomundo/Tcheka%20-%20Strada%20Pico.wma
et pour connaitre le bonhomme:
http://www.mindelo.info/disco_tcheka.html
J'en parle ici car je trouve que c'est proche du blues...
A vous d'en juger...
mms://streaming.plugin.com.br/musicadomundo/Tcheka%20-%20Strada%20Pico.wma
et pour connaitre le bonhomme:
http://www.mindelo.info/disco_tcheka.html
Invité- Invité
Re: TCHEKA
je peux pas écouter à mon bureau (chut répétez pas que je poste depuis mon bureau ) mais je jetterai un oeil (ou plutôt une oreille) ce soir
Re: TCHEKA
ben j'aime bien
blues pas blues ? je sais pas (peut être plus proche de certains rythmes à la Cesaré Evora)
mais en tout cas c'est un plaisir de voir que des artistes africains produisent de plus en plus d'albums "roots" et en plus en les adaptant à l'oreille occidentale ce qui nous facilite la tache
blues pas blues ? je sais pas (peut être plus proche de certains rythmes à la Cesaré Evora)
mais en tout cas c'est un plaisir de voir que des artistes africains produisent de plus en plus d'albums "roots" et en plus en les adaptant à l'oreille occidentale ce qui nous facilite la tache
Re: TCHEKA
un petit article trouvé sur le site de RFI
Après ses concerts RFI à Dakar (10 et 12 novembre 2005) et à Paris (8 décembre 2005 au Tryptique), Tcheka débute l'année 2006 par une tournée en Afrique Centrale.
Entre le 20 janvier et le 28 février 2006, le lauréat du Prix RFI Musiques du Monde 2005 est en concert au Tchad, au Congo, en Angola, au Cameroun, en Centrafrique, en Guinée équatoriale et au Gabon. Avec le soutien de l'AFAA, dans le cadre du programme Afrique en création.
Jeudi 10 novembre 2005 à Dakar, Tcheka (Cap Vert) était proclamé lauréat 2005 pour le Prix RFI Musiques du Monde par un jury présidé cette année par Jacob Desvarieux.
Dès janvier 2006, retrouvez Tcheka en tournée en Afrique Centrale :
- le 20janvier à N'Djamena (Tchad)
- le 28 janvier à Brazzaville (Congo)
- le 3 février à Luanda (Angola)
- le 11 février à Douala (Cameroun)
- le14 février à Yaoundé (Cameroun)
- le 18 février à Bangui (Centrafrique)
- le 24 février à Malabo (Guinée équatoriale)
- le 28 février à Libreville (Gabon)
Manuel Manuel Lopes Andrade, ou plus simplement Tcheka, est né le 20 Juillet 1973, au port de Ribeira Barca, commune de Santa Catarina, sur l’île de Santiago, la plus africaine des îles de l’archipel du Cap-Vert. Enfant il commence à faire de la musique aux côtés de son père, Nho Raul Andrade, violoniste très populaire de l’île. Tcheka est à bonne école, il apprend vite et se fait remarquer dans toutes les fêtes, mariages, baptêmes…
Pourtant Tcheka a d’autres ambitions. A 15 ans, il commence à développer un style plus personnel basé sur le batuque(*). Le jeune homme quitte sa campagne pour Praia où il devient cameraman à la télévision nationale, travail grâce auquel il voyage et élargit son horizon tout en jouant de façon informelle dans les bars de la capitale capverdienne.
C’est là que José da Silva le remarque et lui propose d’enregistrer son premier album. Tcheka est une sorte de griot pop, développant le batuque vers plus d’universalité. Conteur d'histoires, il a pour toile de fond le sol rural du Cap-Vert et comme personnage central, son peuple. Il a transposé le rythme originel du batuque pour les cordes de la guitare lui apportant un souffle d'air frais. Il s'affirme comme l'une des figure de proue de la nouvelle musique capverdienne.
(*) Le batuque est un rythme particulier à l’île de Santiago dans l’archipel du Cap-Vert. Héritier des rythmes importés d’Afrique par les esclaves, il transmet la mémoire collective et l’identité d’un peuple. Né en marge des travaux des champs, le batuque est traditionnellement réservé aux femmes.
Après ses concerts RFI à Dakar (10 et 12 novembre 2005) et à Paris (8 décembre 2005 au Tryptique), Tcheka débute l'année 2006 par une tournée en Afrique Centrale.
Entre le 20 janvier et le 28 février 2006, le lauréat du Prix RFI Musiques du Monde 2005 est en concert au Tchad, au Congo, en Angola, au Cameroun, en Centrafrique, en Guinée équatoriale et au Gabon. Avec le soutien de l'AFAA, dans le cadre du programme Afrique en création.
Jeudi 10 novembre 2005 à Dakar, Tcheka (Cap Vert) était proclamé lauréat 2005 pour le Prix RFI Musiques du Monde par un jury présidé cette année par Jacob Desvarieux.
Dès janvier 2006, retrouvez Tcheka en tournée en Afrique Centrale :
- le 20janvier à N'Djamena (Tchad)
- le 28 janvier à Brazzaville (Congo)
- le 3 février à Luanda (Angola)
- le 11 février à Douala (Cameroun)
- le14 février à Yaoundé (Cameroun)
- le 18 février à Bangui (Centrafrique)
- le 24 février à Malabo (Guinée équatoriale)
- le 28 février à Libreville (Gabon)
Manuel Manuel Lopes Andrade, ou plus simplement Tcheka, est né le 20 Juillet 1973, au port de Ribeira Barca, commune de Santa Catarina, sur l’île de Santiago, la plus africaine des îles de l’archipel du Cap-Vert. Enfant il commence à faire de la musique aux côtés de son père, Nho Raul Andrade, violoniste très populaire de l’île. Tcheka est à bonne école, il apprend vite et se fait remarquer dans toutes les fêtes, mariages, baptêmes…
Pourtant Tcheka a d’autres ambitions. A 15 ans, il commence à développer un style plus personnel basé sur le batuque(*). Le jeune homme quitte sa campagne pour Praia où il devient cameraman à la télévision nationale, travail grâce auquel il voyage et élargit son horizon tout en jouant de façon informelle dans les bars de la capitale capverdienne.
C’est là que José da Silva le remarque et lui propose d’enregistrer son premier album. Tcheka est une sorte de griot pop, développant le batuque vers plus d’universalité. Conteur d'histoires, il a pour toile de fond le sol rural du Cap-Vert et comme personnage central, son peuple. Il a transposé le rythme originel du batuque pour les cordes de la guitare lui apportant un souffle d'air frais. Il s'affirme comme l'une des figure de proue de la nouvelle musique capverdienne.
(*) Le batuque est un rythme particulier à l’île de Santiago dans l’archipel du Cap-Vert. Héritier des rythmes importés d’Afrique par les esclaves, il transmet la mémoire collective et l’identité d’un peuple. Né en marge des travaux des champs, le batuque est traditionnellement réservé aux femmes.
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