Le topic des blagues foireuses

Au tribunal civil, les parties sont face au juge.
Le plaignant expose ses griefs envers son adversaire. Le juge l'écoute attentivement et dit "Monsieur, vous avez raison !".
Vient le tour de l'autre de répondre. Il se défend très bien et après sa plaidoirie, le juge dit " Vous avez raison monsieur !"
Entendant cela, le greffier se penche vers le juge et lui dit à l'oreille "Mais monsieur le juge, vous ne pouvez pas donner raison aux deux parties..."
Le juge réfléchit un peu et dit "Greffier, vous avez aussi raison !..."

Un prêtre reçoit à diner un vieil ami rabbin (l'histoire marche aussi avec un imam...). La soirée est joyeuse, les deux hommes se connaissant depuis longtemps. A un moment, le prêtre dit :
- Tiens, j'ai failli acheter un roti de porc et heureusement je me suis souvenu au dernier moment que tu n'en manges pas. Cela dit, entre nous David, je ne comprends pas comment on peut se passer d'une viande aussi succulente et j'ai du mal à croire que tu n'y a jamais goûté !
- Ah non répond le rabbin, jamais ! C'est formellement interdit !
- Wohhh... jamais au grand jamais ? Allez, on est entre nous, je ne peux pas imaginer que pas une seule fois tu as essayé de manger du porc !
- Ah non non jamais ! Je ne peux pas...
- Allez, tu peux me l'avouer, ça ne sortira pas d'ici !...
- Mais non JAMAIS !... enfin... bon... peut être une fois... mais une seule hein ! et ce n'était pas de ma faute... ben... j'étais invité à une réception à la mairie et par inadvertance, pendant que je discutais avec quelqu'un, j'ai pris un canapé et je me suis aperçu après qu'il y avait du porc dedans...
- Ah, ben voilà ! Je me disais bien aussi que ce n'était pas possible de se priver de porc ! ah ah ah...
- Bon j'ai avoué. A toi maintenant Patrick ! Moi je ne comprend pas le célibat des prêtres. Ne me dis pas que tu n'as jamais couché avec une femme !
- Ah ben non ! tu sais bien que j'ai prononcé un voeu de chasteté et je m'y tiens !
- Bô bô bô... j'ai du mal à y croire... Tous les hommes ont besoin de femmes, même les prêtres !...
- Ah non, la foi nous suffit à nous prêtres ! Et puis, c'est interdit et je me conforme aux règles...
- Ah ah ah Jamais une seule fois dans ta vie ? Allez joue franc jeu !...
- MAIS NON !... non... ah... bon...peut être une fois... mais je m'en souviens à peine... et puis des amis m'avaient fait boire... Je me suis retrouvé couché nu avec une jeune femme, je ne sais même pas comment tout cela a pu arriver !...
- Ah ah enfin la vérité Patrick ! D'un certain côté ça me rassure... Et puis maintenant qu'on est à égalité, tu peux bien aussi m'avouer autre chose : on est bien d'accord les femmes c'est meilleur que le cochon n'est ce pas ?...

Une association de nains a monté un club de football, et chaque
dimanche ses équipes jouent l'une contre l'autre.

Après le match, tous vont dans un café on leur réserve la salle à
l'étage pour boire un vin chaud.

Un dimanche, un client bourré, accoudé au comptoir, voit descendre
dans l'escalier un, deux, trois , cinq, dix enfin onze nains en maillot
bleu qui traversent la salle, passent devant lui et sortent dans la rue.

Il se frotte les yeux et recommande un whisky.

A peine a-t-il bu qu'il voit un , deux, cinq, dix puis onze nains en
maillot rouge descendre à leur tour l'escalier, passer devant lui ,
sortir dans la rue.

Il appelle Tony, le propriétaire du bistrot et lui dit à l' oreille :
"Je voudrais pas t'inquiéter, mais y a ton baby-foot qui se barre".

Au cimetière, un homme qui vient d'enterrer son épouse est inconsolable. Il pleure à chaudes larmes et se lamente :
- Mais qu'est ce que je vais faire sans elle... qu'est ce que je vais faire ?...
Un ami le prend dans ses bras et tente de le consoler :
-Oui je sais Eric, c'est très dur... mais crois moi, c'est une question de temps... peu à peu ça ira mieux... Tu es encore jeune, je suis sûr que dans quelques mois la douleur sera moins vive et peut être même alors tu pourras envisager de refaire ta vie...
et l'autre, dans un sanglot :
- Oui ça je le sais,... mais qu'est ce que je vais faire ce soir ?

Ah Scorpions Still Loving You....



Il en prend un coup là, le slow de légende

@+

Vraie pub SNCF

Une blague bien foireuse et en plus très bête (finalement je m'aperçois que j'adore les blagues bêtes ! ).

C'est un gars dingue de pêche. C'est son seul loisir, la seule activité qui lui donne à la fois du plaisir et une certaine sérennité. Ce samedi là, il se lève à 4h et demie du matin pour aller assouvir sa passion à 40 kms de Paris au bord d'un étang tranquille. Il a préparé avec minutie tout son matériel la veille au soir, ainsi qu'un solide casse croute et il savoure à l'avance une journée qui s'annonce magnifique.

Comme il est écolo, il y va en vélo. C'est un peu loin mais un peu d'exercice au petit matin sur des routes désertes, c'est sain et agréable. A 7h, il arrive à destination et s'installe immédiatement au bord de l'étang. Au bout d'une heure, il sent une présence derrière lui. Il se retourne et voit à 5 mètres un petit gars d'environ 14 ans, la mine ahurie et l'air pas très malin qui lui dit :
- Tu pêches ?
- Ben oui tu vois mon garçon, je pêche.
- Ah... Tu pêches ?
- Oui, je pêche, et quand on pêche, il ne faut pas effrayer le poisson, donc on ne parle pas !
Ah c'est bien ma chance pense t-il, je suis tombé sur l'idiot du village. J'espère qu'il va vite déguerpir.
Mais le petit gars reste. Il s'approche même peu à peu du pêcheur et est maintenant juste derrière lui.
- Tu pêches ?
- D'après toi ? Bon, si tu veux qu'on soit copains, tu ne me demandes plus ce que je fais et TU TE TAIS !!!
Le petit gars ne répond rien mais s'assoie à côté de notre homme... qui commence à s'énerver un peu. D'un côté, comme c'est un humaniste, il se dit qu'il n'a pas le droit de rejeter un pauvre garçon pas fûté qui ne doit pas avoir une vie très facile ; d'un autre côté, cet idiot commence à sérieusement gâcher tout le plaisir de sa journée de pêche ! Au bout de quelques minutes :
- Tu pêches ?
- NON, JE JOUE AU BASE BALL ! Bon écoute, il est 10h, ton papa et ta maman vont s'inquiéter, alors tu devrais rentrer chez toi. Tu comprends ça ? RENTRER CHEZ TOI !!!
Mais le petit gars ne se lève pas. Pire même, il commence à jeter des petits cailloux dans l'eau. L'homme n'en peut plus.
- MAIS ARRETE ! Tous les poissons vont fuir ! Allez, fous le camp, FOUS LE CAMP !!!
Mais le petit gars ne bouge pas et le regarde en souriant :
- Tu pêches ?
Une terrible chape de découragement s'abat sur notre homme !... Il ne peut tout de même pas lui taper dessus ! Et bien tant pis, se dit-il, ma journée est foutue ! Pas de chance... allez je rentre à Paris. Et, sous l'oeil du petit gars, il plie bagages rapidement, remonte sur son vélo et commence à remonter la petite route en côte de 400m qui relie l'étang à la départementale. Mais c'est bien pentu et il a un peu présumé de ses forces. Les derniers mètres sont très difficiles, et arrivé en haut, il doit faire une pose. Il se retourne alors et voit, tout en bas de la côte, le petit gars qui fait de grands moulinets de bras et crie quelque chose.
- Mais qu'est ce qu'il veut encore l'idiot ? Qu'il aille se faire foutre !... mais bon... il lui est peut être arrivé quelque chose... c'est quand même quelqu'un de fragile... j'peux pas l'abandonner comme ça s'il a un problème... bon j'y vais...
Et notre homme se remet en selle et redescend la pente. Mais, fatigué par la montée, il manque de lucidité et prend malheureusement un peu trop de vitesse. A 50m du bas de la pente, il y a une zone de gravillons qu'il aborde bien trop vite. Le vélo dérape et c'est le vol plané, spectaculaire et douloureux. Il se relève difficilement, écorché de partout et avec un mal de dos considérable. Il marche en titubant et arrive vers le petit gars qui n'a pas bougé.
- Ahhhh... ben alors... t'as un truc à me dire ? qu'est ce qui t'arrive ?....
Et le petit gars dit :
- Tu fais aussi du vélo ?

Phil cotton color a écrit:Une blague bien foireuse et en plus très bête (finalement je m'aperçois que j'adore les blagues bêtes ! ).

Et très longue à lire. Mais quand on arrive à la chute on comprend mieux pourquoi.
J'ai bien ri.
@+

No comment

Pas vraiment une blague, plutôt une chronique (satirique ?) des aventures de notre Non Significatif national en ce lundi :

Our Mexican maid asked for a pay increase.

My wife was very upset about this and decided to talk to
her about the raise.

She asked: 'Now Maria, why do you want a pay
increase?'

Maria: 'Well, Senora, there are three reasons why I
want an increase. The first is that I iron better than
you.'

Wife: 'Who said you iron better than me?'

Maria: 'Your husband said so.'

Wife: 'Oh.'

Maria: 'The second reason is that I am a better cook
than you.'

Wife: 'Nonsense, who said you were a better cook than
me?'

Maria: 'Your husband did.'

Wife: 'Oh.'

Maria: 'My third reason is that I am a better lover
than you.'

Wife: (really furious now) 'Did my husband say that as
well?'

Maria: 'No Senora...the gardener did.'

Wife: 'So how much do you want?'

Elle est mignonne, celle-là, jb
Nul doute qu'elle aura au moins 45% (comme Proglio), la bonne de Lady Chatterley...

Yes, very good !

Un jeune novice arrive au monastère. La tâche qui lui est assignée est d'aider les autres moines à recopier les anciens canons et règles de l'église. Il remarque que ces moines effectuent leur travail à partir de copies et non des manuscrits originaux. Il va voir le père abbé, lui faisant remarquer que si quelqu'un a fait une petite erreur dans la première copie, elle va se propager dans toutes les copies ultérieures.
Le père abbé lui répond : "Cela fait des siècles que nous procédons ainsi, que nous copions à partir de la copie précédente, mais ta remarque est bonne, mon fils."
Le lendemain matin, le père abbé descend dans les profondeurs du sous-sol du monastère, dans une cave voûtée où sont précieusement conservés les manuscrits et parchemins originaux. Cela fait des siècles que personne n'y a mis les pieds et que les scellés des coffres sont intacts.
Il y passe la journée toute entière, puis la soirée, puis la nuit, sans donner signe de vie. Les heures passent et l'inquiétude grandit. A tel point que le jeune novice se décide à aller voir ce qui se passe. Il descend et trouve le père abbé complètement hagard, les vêtements déchirés, le front ensanglanté, se cognant sans relâche la tête contre le mur de pierres vénérables.
Le jeune moine se précipite et demande : "Père abbé, que se passe-t-il donc?"
- Ahhh... c'est pas "voeu de chasteté", c'est "voeu de charité" !

Une histoire toute mignonne...

Avant de signer un contrat, un industriel visite une usine qui produit des objets à base de caoutchouc. C'est le Directeur en personne qui lui fait faire le tour du propriétaire.
Ils s'arrêtent devant une première machine qui émet des sons étranges :
Dong... Plouss. Dong...Plouss.
- Vous voyez, explique le Directeur a son hôte, ici on fabrique des tétines pour les biberons des bébés... Le "dong", c'est lorsque la tétine est moulée par la machine et le "plouss", c'est quand elle perce un trou a l'intérieur. Vous me suivez ?"
Les deux partenaires s'arrêtent ensuite devant une autre machine qui ne produit que des "dong" à répétition: Dong, dong, dong, dong...
- C'est quoi, ça ? interroge le visiteur.
- ça, c'est une machine qui fabrique des gants de vaisselle, explique le Directeur. Evidemment ils sont imperméables, c'est pour cela que vous n'entendez que des "dong"...
Ils poursuivent tous deux la visite de l'usine et s'arrêtent devant l'atelier de conception des préservatifs. Le visiteur est très surpris lorsqu'il entend: Dong... Dong...Dong... Plouss...Dong... Dong... Dong... Plouss. Il interpelle immédiatement le Directeur :
- Dites moi, votre machine est défectueuse, elle fait des trous dans les préservatifs.
Le propriétaire des lieux explique:
- Ben oui, un préservatif sur trois qui sort de l'usine est percé.
- Mais c'est pas très bon pour la réputation de la marque cette histoire ? répond le visiteur troublé.
- Non mais c'est excellent pour le commerce des tétines !...

La chasse au thon rouge va être interdite.

Tant mieux pour Anne Roumanoff !!

Omar & Fred hier soir au grand journal de canal +

Quand j’étais petit à la maison, le plus dur c’était la fin du mois… Surtout les trente derniers jours !

Coluche