Jonathon Long - Jonathon Long
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04022019
Jonathon Long - Jonathon Long
Wild Heart Records
1. Bury Me (2:55)
2. Shine Your Love (3:11)
3. That's When I Knew (3:57)
4. The Light (3:40)
5. Living The Blues (3:18)
6. Natural Girl (2:36)
7. The River (3:46)
8. Pour Another Drink (3:35)
9. This Road (2:49)
10. Where Love Went Wrong (3:19)
11. Pray For Me (4:21)
1. Bury Me (2:55)
2. Shine Your Love (3:11)
3. That's When I Knew (3:57)
4. The Light (3:40)
5. Living The Blues (3:18)
6. Natural Girl (2:36)
7. The River (3:46)
8. Pour Another Drink (3:35)
9. This Road (2:49)
10. Where Love Went Wrong (3:19)
11. Pray For Me (4:21)
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Jonathon Long - Jonathon Long :: Commentaires
Très franchement je n’avais jamais entendu parler de ce gaillard avant d’apprendre que Samantha Fish produisait son deuxième album et jouait sur un titre.
Jonathon «Boogie» Long est né à Baton Rouge, en Louisiane, ce qui, selon mes critères, est un bon point, il débute dans les nombreux rades du coin et de 2003 à 2005 où il côtoie Henry Turner Jr. & Flavour de 2003 à 2005, ainsi que que Larry Garner, Kenny Neal et James Johnson (deuxième bon point). Il a ouvert pour quelques pointures (Warren Haynes et Govt Mule, Jimmy Vaughn, Greg Allman, ZZ Top, Dr. John, Rockin 'Dopsie) troisième bon point, puis fait une tournée en première partie de BB King en 2013 (deux bons points là). La même année il sort son premier album «Blues Revolution». Il a également fait l’acteur dans «We Are Kings», une histoire fictive sur un couple de personnes âgées possédant un juke joint dans le delta du Mississippi et sorti un second CD "Trying To Get There" (2016),
Voici donc le troisième album plutôt réussi, avec de belles compositions comme un somptueux « The Light » souligné par quelques arabesques de violon qui sentent bon la Louisiane (et aussi le nouveau groupe de Samantha). La voix du gaillard est agréable, la demoiselle se débrouille bien à la production, les guitares ont l’odeur des bayous et du Mississippi, mais aussi le southern-rock avec "Living The Blues" qui fait penser au Marshall Tucker band et à son chanteur Dou Gray (trois bons points au moins rien que pour cela). Samantha chante en duo sur « The River » qui précède « Pour Another Drink » une chanson à boire bien envoyée (encore deux bons points)
Moi avec tous ces points je lui donne une très belle image, celle d’un bon album qui s’écoute avec plaisir.
Jonathon «Boogie» Long est né à Baton Rouge, en Louisiane, ce qui, selon mes critères, est un bon point, il débute dans les nombreux rades du coin et de 2003 à 2005 où il côtoie Henry Turner Jr. & Flavour de 2003 à 2005, ainsi que que Larry Garner, Kenny Neal et James Johnson (deuxième bon point). Il a ouvert pour quelques pointures (Warren Haynes et Govt Mule, Jimmy Vaughn, Greg Allman, ZZ Top, Dr. John, Rockin 'Dopsie) troisième bon point, puis fait une tournée en première partie de BB King en 2013 (deux bons points là). La même année il sort son premier album «Blues Revolution». Il a également fait l’acteur dans «We Are Kings», une histoire fictive sur un couple de personnes âgées possédant un juke joint dans le delta du Mississippi et sorti un second CD "Trying To Get There" (2016),
Voici donc le troisième album plutôt réussi, avec de belles compositions comme un somptueux « The Light » souligné par quelques arabesques de violon qui sentent bon la Louisiane (et aussi le nouveau groupe de Samantha). La voix du gaillard est agréable, la demoiselle se débrouille bien à la production, les guitares ont l’odeur des bayous et du Mississippi, mais aussi le southern-rock avec "Living The Blues" qui fait penser au Marshall Tucker band et à son chanteur Dou Gray (trois bons points au moins rien que pour cela). Samantha chante en duo sur « The River » qui précède « Pour Another Drink » une chanson à boire bien envoyée (encore deux bons points)
Moi avec tous ces points je lui donne une très belle image, celle d’un bon album qui s’écoute avec plaisir.
Tu n'ignores pas ce que je pense de Samantha Fish, Michel, raison pour laquelle l'argument de ses participations, aussi bien comme interprète que comme productrice, ne risque guère de spontanément m'attirer.
Toutefois, je reconnais que ce Jonathon, que je découvre aujourd'hui, excelle dans la catégorie 'ballades', sa musique est aérienne, il possède un joli timbre de voix, d'une belle amplitude, qui plus est. En outre, il se débrouille plutôt bien en rock sudiste. Du coup, j'adhère. (Mais c'était loin d'être gagné d'avance... )
'The light'
'Bury me'
Toutefois, je reconnais que ce Jonathon, que je découvre aujourd'hui, excelle dans la catégorie 'ballades', sa musique est aérienne, il possède un joli timbre de voix, d'une belle amplitude, qui plus est. En outre, il se débrouille plutôt bien en rock sudiste. Du coup, j'adhère. (Mais c'était loin d'être gagné d'avance... )
'The light'
'Bury me'
n'empêche que sans Samantha je n'aurais pas découvert le gaillard !
BAYOU a écrit:n'empêche que sans Samantha je n'aurais pas découvert le gaillard !
Pas faux!
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