Gov't Mule

Oui bon, faut que j'arrête la Vittel, le CD est annoncé sur le site du groupe !

Yes, y'a même la pochette...çà m'a l'air terrible.

Je l'écoute en ce moment ... miam miam que c'est bon

Derek a écrit:Yes, y'a même la pochette...çà m'a l'air terrible.

tu l'écoute ou????

jimmy a écrit:tu l'écoute ou????

MP Jimmy

@+

jimmy a écrit:

Derek a écrit:Yes, y'a même la pochette...çà m'a l'air terrible.

tu l'écoute ou????

Ah bah faut l'acheter, il est à 9,99 dollars sur amazon.com, çà fait 7,5€ pour un triple live du tonnerre, franchement à ce prix c'est cadeau

Il est en écoute ici :

http://mulearmy.net/19991231/player.html

Bon on va pas tergiverser, mais ce concert est FANTASTIQUE.
Le début du show est époustouflant avec Bad Little Boogie et un Allen Woody fantastique, puis Lay Your Burden Down et Blind Man in the Dark.
Bon, je suis désolé, mais c'est tellement fort tout cela que j'ai remis les morceaux 4 fois de suite, avant de continuer l'écoute....
Le dernier nouvel an de Woody qui décèdera en août 2000, et on mesure la perte pour le groupe, même si maintenant la nouvelle formation est bien soudée.
Mais le bassiste avait un groove d'enfer et la complicité des trois musiciens incroyables.
Que ceux qui ont encore des doutes sur les qualités de la Mule investissent 7,5€ dans ce live, ils ne regretterons pas leur fric ! ! ! ! !

Je reviens sur nos échanges avec Derek, dans le sujet Black Crowes, j'écoute la cover de Dazed & Confused sur Mulennium, et c'est vrai que Matt Abts est super, il ne joue pas du tout comme Bonham, mais il parvient à donner au morceau un son superbe, et puis les impros de Warren ! ! ! ! !

Oui, vraiment excellent ce live, une très bonne surprise pour les 10 ans de la mort de Woody...il n'était pas prévu d'être enregistré au départ, ni de sortir officiellement.
Il ont joués ce soir là de 23h20 à 03h45
Il y'a quelques vidéos du concert sur Youtube.

Comme chaque année, la tradition du Nouvel An chez Gov’t Mule est de jouer un album mythique des70’s, et pour 2011 le choix s’est porté sur Mad Dog & Englishmen de Joe Cocker.
Pas vraiment étonnant dans la mesure où avec son album solo Man in Motion, Warren Haynes a ajouté dans sa musique des sonorités soul et un saxophone.
Toutefois, après une première écoute, il semble que cette expérience est moins réussie que d’autres, déjà au niveau de la voix, car même si Warren Haynes a fait d’énormes progrès et chante remarquablement, il est difficile de passer après le plombier de Sheffield tant l’interprétation de Joe est fabuleuse.
Et puis, on s’éloigne des fondamentaux de la musique du groupe qui, en plus, a peu joué cette année, les divers membres ayant privilégié leurs carrières solos.
Cela étant dit, le show est excellent et on retrouve les qualités intrinsèques de la Mule et c’est un réel plaisir de retrouver l’axe Matt/Warren, dans les morceaux «classiques» du set 1 et le set 2 même avec les légères réserves évoquées comporte aussi de superbes passages.

Rendez-vous en janvier (12/13/17) en Jamaïque pour le traditionnel Island Exodus

Set 1
Railroad Boy >
Mule
Thorazine Shuffle
Brighter Days >
Like Flies
Lay Your Burden Down
About To Rage
Slackjaw Jezebel
King's Highway >
St. Stephen Jam >
Eternity's Breath >
Trane with Norwegian Wood Tease
Set 2 Mad Mules & Englishmen with The Ass-ets (Machan Taylor, Mini Carlsson & Alicia Shakur) & Chronic Horns (Buford O'Sullivan, Pam Fleming & Jenny Hill)
Intro >
Honky Tonk Women
Sticks & Stones*
Cry Me A River*
Bird On A Wire*
New Years Countdown
Feelin' Alright
Intro >
Superstar*
Let's Go Get Stoned
Blue Medley: I'll Drown in My Own Tears/When Something Is Wrong with My Baby/I've Been Loving You Too Long*
Girl From The North Country*
Give Peace A Chance*
She Came In Through The Bathroom Window*
Space Captain*
The Letter
Delta Lady
Set 3
Sco-Mule with Oz Noy
I Believe To My Soul with Nigel Hal

Soulshine with Nigel Hall, Alicia Shakur & Ron Johnson, without Jorgen Carlsson
Encore
I Shall Be Released with The Ass-ets, Nigel Hall, Ron Johnson & Oz Noy
* First Time Played

yepppppppppppp

Le retour de Gov't mule au Trianon le 9 juillet.

bye

GOV'T MULE : Paris, Trianon, 9/7/12

Cette review va être d'autant difficile à rédiger que la set-list prévue n'a pas été du tout respectée. Mais bon, on va quand même s'en tirer. En deux ans, Gov't Mule s'est produit deux fois dans la capitale et Warren Haynes aime tout particulièrement la France. En 2011, en solo, il a joué au Festival de Cahors et à l'Olympia pour deux concerts de haute tenue.

Avec Gov't Mule, nous avons en première partie un jeune prodige à l'allure d'un Alex Lifeson de Rush en beaucoup plus jeune qui, depuis quelques temps, se fait considérablement remarquer en publiant d'excellents albums. Il se nomme Kenny Wayne Shepherd et vient de sortir un dernier essai intitulé How I Go pour le moins très convaincant. Pour ma part, en ayant fait l'acquisition récemment, je le trouve très réussi, à tel point que j'ai complété ma modeste collection en me procurant le Live In Chicago qui est tout simplement apocalytique. Le p'tit jeunot est sacrément accompagné : en effet, à la basse, Tony Franklin qui a fait partie de The Firm et de Blue Murder et à la batterie, Chris Layton qui a joué dans le Double Trouble de Stevie Ray Vaughan (paix à son âme) et un talentueux chanteur répondant au nom de Noah Hunt. Ce dernier a rejoint le blond guitariste dès 1997. Voix très claire et très puissante, Hunt s'illustre également en reprenant quelques gimmicks dont seul Paul Rodgers a le secret. Entamant le set avec un Never Lookin' Back de fort belle facture, le groupe passe son répertoire en revue, enfin dans la mesure des 45 bonnes minutes qui lui sont accordées. Kenny Wayne Shepherd impressionne son monde en délivrant des soli totalement célestes tandis que Tony Franklin participe activement aux parties chantées. Layton, de son côté, ne martèle pas ses futs mais bien au contraire, joue en toute finesse. Ca joue véritablement très bien et l'on se demande après coup que Gov't Mule devra sortir un show monstrueux pour ne pas se faire voler la vedette.

Je prends ensuite, le temps d'aller faire une petite pause aux gogues qui, et cela est d'autant plaisant, sont aérées, l'expression "Il y a du vent dans les gogues" prenant tout son sens.

Quelques quinze minutes plus tard, le présentateur sans doute attitré du Trianon monte sur scène et vient présenter quelqu'un qui se dit "fan de la première heure de Gov't Mule", à savoir Philippe Manoeuvre. Tout le monde se demande ce qu'il fout là. La réaction du public est sans appel. Bronca massive !!!!!!!!!!. Manoeuvre ne sait plus où se mettre, balbutie quelques mots puis s'éclipse devant tant d'hostilité.

Difficile ensuite pour Gov't Mule de faire son entrée dans une telle ambiance. La tension se dissipe rapidement quand le groupe entame son set. D'entrée de jeu, même si pour ma part, je trouve le son un peu fort comparé à celui de Kenny Wayne Shepherd, Warren Haynes et ses compères se mettent le public dans la poche. C'est parti pour 2h30 de concert intense où l'on notera des versions sublimes entre autres de Time To Confess et Mule . Warren Haynes étire les soli à souhait, amenant le reste du groupe dans des jams brillantes notamment le bassiste Jorgen Carlsson qui s'illustrera de fort belle façon tout au long du concert.
Vient ensuite après 1h45 d'intense concert le moment que tout le monde attendait voire même espérait (info qu'avait glissée subrepticement au cours du concert), à savoir une jam avec Kenny Wayne Shepherd. Ca démarre sur That's What Love Make You Do pour une version de feu, les deux guitaristes se renvoyant à tour de bras des soli venant de nulle part. Et cela continue avec en prime des musiciens qui s'interchangent. Ainsi, nous assistons à un final décapant avec un Chris Layton qui remplace Matt Abts sur un Blind Man In The Dark de toute beauté avec encore au programme de superbes joutes guitaristiques entre Shepherd et Haynes. Un dernier titre viendra clôturer cette belle soirée !!!!!! Messieurs, vous revenez quand vous voulez. !!!!

hello, j'ai pris une claque lundi soir whaouuuuuuuuuuuuu, ça faisait longtemps que je n'avais pas vu un concert comme ça, derek et susan l'année dernière
c'était bien mais la c'était top.
pour revenir a Manouvre j'ai trouvé cela dur du public ,il ne faut pas oublier ce qu'il à fait pour le rock, mais si aujourd'hui la nouvelle star lui colle à la peau.
bref le "fils" de SRV était top en 1er partie, Warren égal à lui meme et le Final,comme un feu d'artifice du 14 juillet.....
hier je suis allé voir Paul Personne et Dimanche Keb Mo au parc Floral

La set list

1 Set

01 Crowd
02 Railroad Boy >
03 Rocking Horse
04 Time To Confess
05 Trane > 3rd Stone jam > Norwegian Wood tease > Eternity's Breath
06 Captured
07 Steppin' Lightly
08 Streamline Woman
09 No Need To Suffer
10 Need Your Love So Bad
11 Blind Man In The Dark
12 Mule > I've Been Working > Mule
13 Crowd

Encore 1:
14 Intro/tuning
15 Feel Like Breaking Up Somebody's Home (1)
16 That's What Love Can Make You Do (2)
17 Crowd *

Encore 2:
18 Crowd *
19 32/20 Blues (3)

Setlist notes:
(1) with Kenny Wayne Shepherd on guitar & Tony Braunagel on drums
(2) Kenny Wayne Shepherd, Chris Layton on drums, Richard Cousins on bass,
Tony Braunagel & Matt Abts on percussion, no Jorgen Carlsson
(3) with Kenny Wayne Shepherd

Petite précision en 2011 c'est le Warren Haynes Band et non Gov't Mule qui a joué à Paris.
Je regrette bien d'avoir loupé ce concert mais bon j'étais à Montreux pour Dr John !

Oui, j'ai pourtant précisé que c'était "en solo". En plus j'y étais.

Je pense que BAYOU nous cisèle un texte aux petits oignons et aux gumbos...
Vu qu'il est très objectif sur ce groupe.
Je donne ma version quand-même



En partant du boulot, c’était pas joué, mais j’arrive pile à l’heure à Cléon.
D’habitude, «La Traverse», on se gare comme on veut sur le parking du supermarché d’à côté.
Là, tout est complet. Je perd 10 minutes à tourner et à trouver une place. J’en trouve une dans les parkings des HLM, je me gare à côté d’un mec aux cheveux longs assez âgé qui se brosse minutieusement dans sa diane citroën (j’vous jure, je l’invente pas).
Dans l'exercice de la chronique musicale, c'est un parti pris de raconter sa propre vie qui mène au show. Je trouve ça nul mais j'essaie quand même. Hop.

Je suis dégouté, j’ai raté à deux minutes près l’entrée des musiciens (j’aime ce moment même s’il n’est pas particulièrement mis en scène).
Mais je n’ai rien raté puisqu’il vérifient tous leurs accordages sur leurs petits curseurs verts fluos à leurs pieds.

BAYOU sera bien meilleur que moi pour décrire le set, il connait le groupe sur le bout des ongles, je lui laisse le temps de rédiger.
(Je l’ai aperçu à l’entracte bien loin, rejoignant le parking, mais la Traverse affichant complet et étant objectivement moite et bondée, impossible de faire trois mètres sans bousculer les autres spectateurs, Heu,...«Boujou» Michel).

Au début, je pense que c’est la transition trop rapide entre le stress de mon travail et le show, j’ai eu une phase d’un quart d’heure d’adaptation. Le début du set m’est un peu passé à côté.

C’est la première fois que j’assiste à un concert de la mule. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre. D’autant que «La Traverse», dans sa promotion promet des surprises incroyables. Dans ma tête, je m’attends à un défilé d’invités, il n’en sera rien.

Alors au début, collé aux enceintes droites, je me suis dit qu’étant photographe et ayant pris mon boîtier, j’allais me distraire en essayant pour la première fois de me frotter au difficile exercice de photographe de scène.

Dans une salle pleine, et n’ayant aucun culot naturel pour me frayer des passages, je suis resté bloqué sur ce mur d’enceinte droit.

J’étais à quelques mètres de ce clavieriste étrange. Il va déconcerter le bassiste à de nombreuses reprises, Warren Haynes lui lance de surprenants regards lors de ses envolées lyriques mais il est en transe et exécute sacrément bien le boulot. Il a en plus 4 instruments différents et gère main gauche / main droite tous ses claviers avec une facilité déconcertante.
 

Le premier set me semble passer très vite.


Pause de fiou minutss
Le truc habituel, bar saturé, chiottes saturées.

Le temps de fumer une cigarette, de rentrer à nouveau pour me retrouver au troisième rang (avec des petits en face de moi). Il fait très chaud dans la salle. Je suis TRES BIEN placé.

Pour ma part, le second SET sera tout autre, je vais me retrouver en transe malgré moi et en peu de temps.

Je prend d’abord la mesure du jeu de guitare de Warren Haynes. C’est fou. Il peut passer d’une virtuosité sans égal en standard, à un slide incroyable open (sur une firebird magnifique). Il passe d’un jeu très rock moderne avec un mediateur, à un fingerpicking à trois, deux (à la malienne ou North Mississipp) ou quatre doigts (folksong). Un slider incroyable aussi. C’est son jeu complet qui m’a le plus impressionné. Parfois même en mode funk quand il se place en section rythmique.

On enchaîne sur...

Et Blackout. Coupure générale de son, plombs qui sautent.
Personne ne sait trop ce qu'il se passe.

Bref, les instruments amplifiés réduits au silence.

Deux secondes médusé, Warren le patron fait signe à Danny Louis (à ce moment au trombone) de suivre Matt Abts.
D’ordinaire, je n’apprécie que moyennement les solos de batterie. Mais là, c’est imposé par un problème technique. Et c’est assez jouissif de voir que personne ne connait le scénario et surtout le dénouement de l’épisode.
Après de longues minutes à résoudre ce problème d’ingénieur son, et un merveilleux solo de batterie improvisé, le jus revient, tous ont l’info et la reprise est aussi parfaite qu’en studio. Warren rigole comme s’il avait passé un bon moment.

Toute la fin du set m'a transporté. Notamment un morceau en slide très blues, quel fou furieux de maîtrise, de feeling!!!

La performance de Warren Haynes est exceptionnelle mais il ne faut pas non plus oublier le bassiste, qui excelle au mediateur très hard mais qui peut aussi produire un jeu jazz aux doigts. Très impressionnant.

Un concert inoubliable.

Et un rappel teinté de Johnny Cash, c’est le truc en plus qui me fait reprendre la route du retour avec un sourire béaaaaaahhhh. (à l’aller, j’avais Boubacar Traoré et Johnny Shinnes. Au retour, silence total, pas de radio, rien, la route, le bonheur d’exister et quelques acouphènes quand même).

Copyright bien sûr Jungle. Non, je déconne...

Dommage on s'est loupé mais vu le monde !
A l'entracte j'étais retourné à la voiture chercher une bouteille d'eau.
J'étais de l'autre côté de la scène sauf au début du second set, je suis venu à droite faire des photos quand Danny Louis jouait du trombone.
Alors je vais y revenir plus tard, mais j'ai pas trop aimé le premier set, par contre le second est un des meilleurs que j'ai vu du groupe !

PS
Super tes photos, on voit le pro !

J'imagine aisément, Gut, quelle jubilation tu as dû ressentir à pouvoir diffuser tes propres clichés de musiciens, sans qu'aucune contrainte de droits d'auteurs ne vienne pour une fois brider ton enthousiasme!    Tu t'es lâché et tu nous a vraiment gâtés!

Et puis, je le trouve très convivial, ton CR! Il est à ton image: original, vivant, juste décalé comme il faut!
Merci pour ce sympathique retour de concert. (On attend évidemment avec impatience celui de Bayou, cela va de soi!)

...Et côté chant, HayNes a-t-il assuré comme à l'accoutumée?

Nous avions quitté Warren Haynes dans cette même salle, un soir de novembre 2015 sur les notes d’Imagine, on le retrouve devant un public nombreux (le concert est sold-out) avec pour conséquence une chaleur lourde. On le surprend à avaler un ou deux cachets avant de démarrer, et soyons honnête le premier set est assez moyen. Cela se remarque aux regards acérés que lancent Warren à Danny Louis qui semble un peu paumé dans les improvisations, et après « Status » la Mule semble boitiller. Je me dis aussi, que je deviens exigeant, car c’est quand même excellent, mais on sent qu’il manque un petit quelque chose et en plus la basse résonne dans le mix ce qui pénalise la clarté du chant de Warren, même Matt derrière ses futs semble en retrait.
Alors peut-être Warren a senti le flottement, toujours est-il que Matt a mis son bandeau autour des cheveux, Danny a sorti le trombone, Le guitariste changé de chemise….Si le premier show était moyen le second fut extraordinaire. « John The Revelator” est superbe, avec justement le son du trombone, puis le groupe s’envole …. « Going Out West”, “Kind Of Bird”, “Soulshine” avec les chorus et le chant imperial de Warren. Mais le plus beau est à venir. Quand Monsieur Warren Haynes joue le blues….”Smokestack Lightning” d’Howlin' Wolf….”Why don't ya hear me cryin'?” chuchote Warren et sa guitare pleure, pleure…Le temps s’arrête, la salle est étrangement silencieuse, instant magique….mais qui est capable de transmettre une telle émotion, de retrouver l’origine des mots du Wolf et de les magnifier ?
Certes, nous avons eu de superbes échanges, Matt a retrouvé ce son inimitable, ce jeu de baguettes, Danny a remis son bonnet à l’endroit, et la basse se fait moins envahissante dans la sono, et « Broke Down On The Brazos » carrément pour terminer le second set. …Mais ce morceau, ce blues,…..la même émotion qu’un soir de réveillon à New-York que le groupe rendait hommage aux trois King.
Après cela se termine sur un petit nuage, Warren demande au rappel que voulez-vous entendre ? Et c’est une cacophonie de propositions, alors il choisit pour nous, avec des notes d’Happy Together, un semblant de Marseillaise (ah oui c’était avant), bref le rappel somptueux, et après quasiment deux heures trente de musique, on est un peu abasourdi mais heureux.
Un concert de la Mule reste toujours une expérience unique, la set-list n’est jamais la même (il suffit de comparer avec celle de Luxembourg la veille), à Cléon Warren a senti que le groupe se perdait un peu dans les improvisations du premier set, alors il a repris magistralement la main.
Magnifique, tout simplement magnifique.

SET ONE
1 Bad Man Walking
2 Lay Your Burden Down
3 Streamline Woman
4 Stratus
5 Little Toy Brain
6 I Believe To My Soul
7 Scared To Live
8 Mule
SET TWO
1 John The Revelator
2 Going Out West
3 Kind Of Bird
4 Soulshine
5 Smokestack Lightning
6 Lola, Leave Your Light On
7 Broke Down On The Brazos
ENCORE
1 Forevermore >
2 Effigy

Merci pour vos CR les gars.
Belles photos Gut.