Yardbirds

Je reste sur mes positions.

Clapton a fait virer le premier guitariste des Yardbirds et les a propulsés. C'est lui qui leur a donné c'est aspect blues qui ne les quitteront jamais même au temps du zeppelin.

Si Clapton a fait une carrière courte dans le groupe. Beck et Page n'ont pas fait beaucoup plus long (si on enlève la partie Led Zep').


Par contre, je suis tout à fait d'accord sur le génie fou de Beck, avec son utilistation de la distorsion(je me demande même si ce n'est pas lui le premier à l'avoir utilisée?), de la pédale fuzz.

Mais quand le bassiste a quitté le groupe, à cause de tension entre lui et le guitariste solo, il a laissé la porte ouvert et si dans un premier sens, c'est Page qui s'est ramené sourire au lèvre, bientôt ce sera le reste du groupe qui laissera le beau projet tombé en vrille.

acid a écrit:Par contre, je suis tout à fait d'accord sur le génie fou de Beck, avec son utilistation de la distorsion(je me demande même si ce n'est pas lui le premier à l'avoir utilisée?), de la pédale fuzz.

Moi je veux croire - pour la beauté de l'histoire!! - que la distorsion nous vient des voix du Seigneur - Hallelujah Sister Rosetta!!

https://www.youtube.com/watch?v=PnIJR3PWTT8&mode=related&search=

CLAPTON restera - à mon humble avis - le plus imprtant bluesman blanc avec John MAYALL & SRV
Jeff BECK & Jimmy PAGE ne seront jamais de vrais bluesmen.
Eric a beaucoup plus apporté au Blues que Jimi HENDRIX (carrière trop courte), et restera quoi qu'il arrive désormais, un survivant de la Devil's music
Au sein des divers groupes, Eric par son toucher a valorisé les albums, voir par exemple sa participation sur le double blanc des BEATLES
Ses meilleurs albums, il les a produit en solo (Just One Night, Unplugged & From The Craddle)
Ou en duo : MAYALL & CLAPTON, B.B. KING & CLAPTON
Eric CLAPTON : Le chat du Blues au sept vies qui a su durer

Philou a écrit:CLAPTON restera - à mon humble avis - le plus imprtant bluesman blanc avec John MAYALL & SRV

Et Johnny Winter, hein ? Il est trop blanc peut être...

tiens ... tout ça me donne des idées pour un sondage

et green alors, pourquoi vous oubliez toujours green



mais on s'égare là

ready freddie a écrit:et green alors, pourquoi vous oubliez toujours green

trop vert !

Jungleland a écrit:Five Live Yardbirds (1964)



L'un des albums live essentiel du british blues des années soixante tant par la performance que par la qualité du son.

J'ai le 33 tours de cet album : je trouvais qu'il sonnait plus comme un pirate qu'autre chose.
Cela dit, je n'en garde pas, musicalement, un souvenir inoubliable.
Clapton était loin d'être Dieu et je trouve la voix de Keith Relf assez insupportable...

Jungleland a écrit:Roger The Engineer (1966)

Certainement le meilleur album studio des Yardbirds.

Effectivement sans doute leur meilleur... alors qu'il est très inégal.
Selon les versions, les titres (ainsi que leur ordre) peuvent varier. Il faut donc de préférence se référer à la version UK (dont j'ai le 33 !) :

Face 1 :

1. Lost Woman
2. Over, Under, Sideways, Down
3. The Nazz Are Blue
4. I Can't Make Your Way
5. Rack My Mind
6. Farewell

Face 2 :

1. Hot House of Omagarashid
2. Jeff's Boogie
3. He's Always There
4. Turn into Earth
5. What Do You Want
6. Ever Since the World Began

"Lost Woman" laisse espérer un disque digne de Cream ou de l'Experience... mais on déchante très rapidement.
Les meilleurs titres sont les rock où Beck tire son épingle du jeu : "Over, Under, Sideways, Down", et son riff qui tue ; "The Nazz Are Blue", "Rack My Mind" ou le "Jeff's Boogie".
Malheureusement, le chant est souvent nullissime. Beck tente même de s'y coller sur "The Nazz Are Blue"... bonjour les dégâts.
Enfin, et surtout, on comprend rapidement pourquoi le groupe n'est connu que pour ses guitaristes (et surtout pour ce qu'ils ont fait après) : les qualités d'écriture du groupe sont très faibles.
Le résultat passe encore quand ils s'inspirent du blues américain... mais sombre dans le ridicule le plus complet dès qu'ils s'essaient à la pop. Ne sont pas les Stones & les Beatles qui veut !
"I Can't Make Your Way" est d'une niaiserie rare. Quant aux titres néo-grégoriens comme "Ever Since the World Began", ils ne méritaient même pas de figurer sur une obscure face B de 45 tours...

Ben oui, si j'écoute les Yardbirds aujourd'hui heu, c'est comment dire, un peu désuet, mais en 1965, il n'y avait pas de comparaison avec ce qui s'est fait par la suite, alors les Yardbirds, c'était vraiment top. Les temps changent.

effectivement je reconnais que j'aurais du préciser que mes qualificatifs étaient faits par rapport à l'époque.

le Five Live Yardbirds je trouve quand même qu'il propose une énergie propre aux live que les productions diverses ne proposeront en général que plus tard. Et puis les standards qui sont repris ici le sont à mon avis d'une façon très respectable

Absolument, aujourd'hui c'est une honte pour le groupe 2007 d'avoir gardé le nom !

j'ai une anthologie avec l'intégralité de Roger The Engineer...ce n'est pas mon préféré, le meilleur c'est celui enregistré en publique avec Jimmy Page !

Les Yardbirds en studio étaient sous le contrôle d'un producteur qui cherchait trop les hits, à part "Lost Woman", le reste sonne trop formaté malgré une energie débordante, ils sont capables du meilleur comme du pire...il y a des bons titres où jeff nous gratifie quand même de quelques bons solos (pour l'époque)... mais bon ...aujourd'hui tout cela fait sourire quand on a écouté Hendrix, Led Zep !
il semblerait que dans la Pop tout ce qui est sorti avant 68 vieilli mal...

Jungleland a écrit:Five Live Yardbirds (1964)



L'un des albums live essentiel du british blues des années soixante tant par la performance que par la qualité du son.[

celui ci est bien meilleur (performance et son) que Five Live... c'est un concert inédit

Salut

Gerry Joe Weise Trio en première partie des YARDBIRDS à Castres en 2001.

http://www.livehouse.com.au/gerryjoeweise/7533/2001-with-yardbirds.html

LONG TRAIN BLUES (Gerry Joe Weise) live, de la meme concert

http://www.myspace.com/gerryjoeweiseblues

Informations de Gerry Joe Weise

http://gerryjoeweise.canalblog.com

à bientôt
GERRY JOE WEISE

les Yardbirds en concert gratuit ce soir à Radio France dans les live de FIP

http://www.radiofrance.fr/chaines/fip/evenements/sommaire/feven.php?even_id=195000054

Les yardbirds, j'adore. Pour moi c'ets toujours bon. Ya pleins de trucs a tirer de ce sgars la.

Par contre comment une formation peut tourner sous le nom de the yardbirds qui sont devenus led zep???? Et ca regroupe qui????

Hello Acid,

Le Line-up actuel des Yardbirs comprend Chris Dreja et Jim McCarty, qui faisaient déjà parti du groupe entre 1963 et 1968, accompagnés de John Idan à la basse, Ben King en lead guitar et Billy Boy Miskimmin à l'harmonica.

Pour ce qui est du nom "Yardbird", c'est un peu comme une marque déposée... Chris Dreja en détient les droits et l'utilise comme bon lui semble.

@ +

euh oui, parce que dans LZ, y'a quand meme que Page qui soit issu des Yards

autrement, il est vrai que le groupe qui tourne en ce moment est loin de celui de la belle (et grande) époque. Du point de vue de ses membres s'entend .

Mais en plus de quarante ans, ils ont eu le temps d'en changer

de plus, Keith Relf, la voix des yards, est décédé en 1976, presque sur scène, comme Molière

ready freddie a écrit:euh oui, parce que dans LZ, y'a quand meme que Page qui soit issu des Yards

autrement, il est vrai que le groupe qui tourne en ce moment est loin de celui de la belle (et grande) époque. Du point de vue de ses membres s'entend .

Mais en plus de quarante ans, ils ont eu le temps d'en changer

de plus, Keith Relf, la voix des yards, est décédé en 1976, presque sur scène, comme Molière

Oui mais Page avait reforme le groupe avec bonham et bonzo. C'etait les New Yardbirds pour une tourne en norvege. C'etait quelques mois avant la formation du zeppelin.

Et Keith relf est pas plutot mortchez lui, electrocute avec sa guitare parce qu'il avait fait un mauvais branchement?

jimmy page avait nommé son nouveau groupe leds new yard à cause d'un contrat ( et de son affreux gourou peter grant )

et bonzo et boham, c'est le même, un pote de robby

effectivement, keith est bien mort électrocuté par sa guitare mal branchée, un peu comme molière en fait, après tout, il aurait pu être sur scène

si tu veux tout savoir sur les yard et le zep, va faire un tour ici, tu en sauras autant qu'un vieux


http://www.theyardbirds.net/

http://pyzeppelin.free.fr/biographie_jimmypage.htm

personnellement, je trouve un peu désolant qu'on enterre les yards au moment du départ de Page

ready freddie a écrit:jimmy page avait nommé son nouveau groupe leds new yard à cause d'un contrat ( et de son affreux gourou peter grant )

et bonzo et boham, c'est le même, un pote de robby

effectivement, keith est bien mort électrocuté par sa guitare mal branchée, un peu comme molière en fait, après tout, il aurait pu être sur scène

si tu veux tout savoir sur les yard et le zep, va faire un tour ici, tu en sauras autant qu'un vieux


http://www.theyardbirds.net/

http://pyzeppelin.free.fr/biographie_jimmypage.htm

personnellement, je trouve un peu désolant qu'on enterre les yards au moment du départ de Page

Je me disais bien que pour bonham, yavait un truc qui allait pas. Mais je me souviens plus du nom du bassiste. John Paul Jones. Comment estje pu oublie???!!!

Sinon, les yardbirds sont quand meme un peu mort avec la naissance du zep. Mais c'ets vrai qu'on peut conclure la dessus:
C'ets pas une raison pour ranger les disques des yardbirds.

Pas du tout.
Perso, j'ai vraiment. Un valeure sure.^^

Un petit coup de Yardbirds avec Page et sa guitare de 100Kg, pas encore une vedette.

Yardbirds ’68 : retour vers le futur (de Led Zeppelin)

Il y avait une vie avant Led Zeppelin, et avec “Yardbirds ’68” Jimmy Page nous rappelle à son bon souvenir en direct du Anderson Theatre de New York et grâce à huit inédits studio…

Le 30 mars 1968, les Yarbirds jouent pour la dernière fois à New York. Les rumeurs de séparation du groupe vont bon train, et si sa cote d’amour est encore assez élevée au pays de l’Oncle Sam, elle est en chute libre dans son Angleterre natale. Eric Clapton, leur premier guitariste, triomphe avec Cream. Jeff Beck, qui avait succédé à Clapton et formé une doublette éphémère avec Jimmy Page, est sur le point de publier “Truth” et de marquer l’histoire du rock briton aux côtés de Rod “The Mod” Stewart. Dès lors, une certaine lassitude gagne les rangs des Yardbirds, et malgré tous leurs efforts pour tenter de se réinventer, Keith Relf, Chris Deja et Jim McCarthy finiront par jeter l’éponge trois mois plus tard. Mais pas Jimmy Page qui, seul aux commandes, pilotera des New Yardbirds qui finiront par connaître un succès planétaire sous le nom de… (Vous connaissez la suite.)

En cette soirée printanière au cœur du Lower East Side, les Yardbirds sont cependant à l’affiche de l’Anderson Theater, qu’ils partagent avec deux opening acts, The Rich Kids et The Bagatelles. D’où la brièveté des deux concerts enchaînés – moins de quarante-cinq minutes – et l’absence, par exemple, d’Happening Ten Years Time Ago dans la set list. Enregistrés à la hussarde sur un magnétophone deux pistes Grundig déjà vintage à l’époque, ces deux performances furent édités non moins hâtivement pour, in fine, prendre la poussière sur les étagères de quelque vault fermé à double tour.

En septembre 1971, surfant avec un rien de cynisme marchand sur la vague, pardon, le tsunami Led Zeppelin, Epic publie le 33-tours “Live Yardbirds – Featuring Jimmy Page”. Problème : la prise de son est horrible, et pour donner l’impression que les Yarbirds se produisaient non pas à l’Anderson Theater mais au Yankee Stadium (au moins), des bruits de foule en délire sont tartinés à la hâte sur les bandes originales. Et l’on ne parle même pas du mixage : c’était quoi la marque de la truelle les gars ? Bref, Jimmy Page est furax, d’autant plus qu’il ne peut s’opposer à la sortie du disque. Pour autant, “Live Yardbirds – Featuring Jimmy Page” disparaîtra vite des radars, et ne sera jamais réédité (officiellement) en CD.

Mais grâce au double album “Yardbirds ’68”, les deux gigs de l’Anderson Theater ressurgissent du néant sonique. Car le Grand Archiviste Jimmy Page, tout en faisant le tri dans sa collection de bandes personnelles – imaginez un peu… – a non seulement retrouvé des enregistrements live dignes de ce nom, mais aussi huit inédits studio ! (Il va sans dire que Chris Deja, Jim McCarthy et les ayants-droit de feu Keith Relf ont approuvé la parution de ces précieux documents.)

Ainsi redécouvre-t-on des versions somme toute très réussies de The Train Kept A Rollin’ (rebaptisé Stroll On dans la BO de Blow-Up), Over Under Sideways Down (o.k., l’ami Keith s’égosille un brin, mais il reste digne) ou encore Shapes Of Things. Les titre étirés façon extended jam sont encore plus excitants, tels Mr, You’re A Better Man Than I, I’m A Man / Moanin’ And Sobbin’, où l’harmonica de Keith Relf se crêpe joliment le chignon avec la guitare on fire de Jimmy Page – mazette, ce solo proto-metal dans Mr, You’re A Better Man Than I ! Et ces giclées wah wah !

Et puis, cherry on the cake, il y a White Summer, l’instru-showcase psyché-world-folk de Page, et, last but not least, Dazed And Confused, qu’on n’avait jamais entendu sur disque avec un aussi bon son – interprétée par les Yardbirds je veux dire… Led Zeppelin n’est pas encore né que son fantôme rôde déjà !

Quant aux huit inédits studio, ils ont beau n’être, selon Page, que des work in progress, ils forment un companion disc essentiel et préfigurent l’ultime album des Yardbirds (qui ne verra jamais le jour). Mention au teigneux Avron Knows (Page toutes griffes dehors préfigure les folies électriques de Communication Breakdown), à Spanish Blood, étonnante digression “flamenco-folk” featuring Keith Relf en mode spoken word, et plus encore à Knowing That I’m Losing You, qui n’est ni plus ni moins que la première version (instrumentale) du futur standard bucolique de “Led Zeppelin III”, Tangerine.

Merci, Tonton Jimmy, pour ce beau travail éditorial. Merci pour le beau livret richement illustré (bon, le graphiste s’est un peu fait plaisir au détriment du confort de lecture, mais ce n’est pas trop grave). Au fait, l’an prochain, Led Zeppelin fêtera son cinquantenaire, et vous imaginez bien qu’on vous attends au tournant… Cela dit, “Yardbirds ’68” nous fait fort agréablement patienter. •
...
https://www.muziq.fr/yardbirds-68/
...

Désolé les gars...

Quand je vois qu'une maison de disque  essaye de nous faire une coloscopie sans anesthésie en nous vendant 30 Euros une archive de 50 ans enrobé de quelques photos couleur en guise de vaseline, c'est plus fort que moi... J'enrage !!!!!!!!!  

J'ai mis le lien dans un esprit de partage, comme quand on copiait nos cassettes audio étant môme,  en toute innocence...

Mais c'est promis je ne le ferais plus !